Le bonheur à l’arrêt du tabac

Le bonheur a l arret du tabac



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Une récente étude effectuée dans un centre de désintoxication vient de démontrer que l’arrêt du tabac favorisait la bonne humeur et plus exactement rendait heureux. De quoi encourager le sevrage tabagique et motiver les personnes désirant arrêter de fumer ! Non seulement pour les bienfaits physiques apportés mais également pour la santé psychique qui en est améliorée.

Arrêt du Tabac et Dépression


Le but de l’étude était de rechercher si les symptômes de dépression à l’arrêt du tabac, durant la période préconisée, étaient accentués ou améliorés. Il s’avère en effet que la cigarette est couramment considérée comme efficace pour calmer l’anxiété, notamment chez les personnes anxieuses et dépressives.

Or, sur les 236 personnes qui ont participé à l’étude pour lesquelles le tabac était corrélé à une forte consommation d’alcool, le groupe des abstinents a révélé en fin d’étude (durée : 28 semaines) une très forte corrélation entre l’arrêt du tabac et l’apparition du sentiment de bonheur. Les signes de dépression et de tristesse, mesurés avant/après à l’aide d’outils spécifiques, avaient diminué par rapport à l’humeur enregistrée avant l’étude. Les autres groupes ont indiqué un meilleur état de leur humeur lorsqu’ils s’abstenaient de fumer en dépit de quelques transgressions au [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Quant à celui dans lequel figuraient ceux qui n’ont pas cessé leur consommation de tabac, il s’est avéré être le plus « malheureux ».

Conclusion


Les auteurs de l’étude, Khaler et coll. , sont parvenus à démontrer que sur une période donnée, cesser de fumer n’altérait pas le psychisme mais qu’au contraire, sur un laps de temps considéré, rendait les personnes sevrées plus heureuses. La durée du sevrage qui peut aller jusqu’à 6 mois étant une période primordiale à la réussite de l’abandon du tabac.

A noter que lorsqu’une dépression grave est installée, sevrage et amélioration de l’état psychique n’ont pas les résultats attendus. Pour ces personnes désirant arrêter de fumer, il est fortement recommandé un dépistage de la gravité de leur dépression afin de les aider et de les accompagner dans leur sevrage tabagique. L’arrêt du tabac contribuant au final à l’amélioration de la santé de l’état psychique.

c'est normal qu'ils ne déprimaient pas, ils buvaient pour compenser :o

Moi j'voudrais bien savoir avec quel genre d'appareil on mesure le bonheur !!!!

Un bonheuroscope ? ou un bon horoscope ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Je ne suis pas si surprise de ces résultats en effet

- on est très fier de soi, donc augmentation de la self-estime, renforcement de l'amour propre ;

- c'est une véritable libération : on est délivré du manque, de la peur de manquer de clope le dimanche, le matin, etc

- on apprécie de se réveiller, on se sent frais, un bon p'tit dej, une p'tite douche et hop hop c'est parti, fini l"haleine du matin à décoller les papiers peints.

- on retrouve des sensations oubliées, odorat, gout, libido...

- enfin, je trouve que je suis d'humeur beaucoup plus égale, je suis moins stressée depuis que j'ai arrêté, je ne suis plus taraudée par la pensée "quand est ce que je vais pouvoir m'en griller une ?" "oh crotte on est invités chez des non fumeurs, on va se faire suer," etc....

moi cest la meme chose, je suis moins stressé, je nai plus a courire ni a droite, ni a gauche pour trouver une clope ,au niveau de ma voiture plus d odeur, plus de vitres toutes poisses , la maison, c est la meme chose , ca cest une bonne chose . la priorité, c est de pouvoir respirer un peu mieux , moi je respire mieux, la voix est moin cassé, le teint est beaucoup plus joli , rien a voire!!!!!!!!!!! je revis

ah oui, le teint couleur vieux cendrier lol. Je fusillais du regard ma belle mère qui me disait que j'avais le teint cireux, la mine frippée et les joues creuses... Mais elle avait raison... en fait

Et vous? Comment vous sentez vous sans tabac?

Bonjour, pour répondre à la question du bonheur, je dirai que "ça dépend des jours et du moment". Mon sevrage ne date que de 2 mois et demi, je n'ai surement pas assez d'espérience pour faire un bilan trés puissant, mais si je ressens certains effets bénéfiques (teint, odorat, pureté etc) j'avoue que j'en bave pas mal aussi. J'anticipe toutes mes sorties qui seraient prétexte à fumer, je suis vigilante à tout ce qui m'entoure et qui pourrait évoquer la cigarette, j'ai des envies compulsives qui me rendent nerveuse, irritable, intolérante etc.... Et la question que tout un chacun se pose est quotidienne "mais quand cela va t il arrêter ??"
Pourtant, je connais la souffrance liée à cette s....., les nuits à tousser, l'incapacité à monter les escaliers, les privations de la moindre promenade... Je sais ce que je gagne, mais p..... que c'est dur !!!!!!!!!

courage, courage, ça va passer ces mauvais moments. Bientôt tu ne comprendras même pas pourquoi tu n'as pas arrêté plus tôt, je te le promets. Et ton humeur sera beaucoup plus égale qu'un fumeur qui a constamment un besoin à combler

Quelques séances de sophrologie pourraient t'aider peut-être à passer le cap et à apprécier encore plus l'air pur et bénéfique qui entre dans tes chers poumons ?

tiens nous au courant